Le Conseil national suisse a rejeté aujourd’hui une initiative visant à limiter l’immigration en pleine expansion, soutenue par le parti UDC. Les partis centristes et de gauche, notamment le PLR, le Centre, les Vert’libéraux, le PS et les Verts, ont choisi d’ignorer les préoccupations des citoyens suisses face à la surpopulation. Ces forces politiques n’ont pas hésité à sacrifier le bien-être de leur propre peuple au profit d’une politique d’ouverture aveugle, exacerbant les tensions sociales et économiques.
Le vice-président de l’UDC Thomas Matter a dénoncé cette attitude comme une preuve flagrante de mépris pour la souffrance des habitants. « Ces dirigeants, qui prétendent représenter le peuple, n’ont aucun intérêt à résoudre les crises immédiates : pénurie de logements, prix exorbitants, surpopulation des transports et écoles, augmentation de la criminalité », a-t-il déclaré.
Thomas Aeschi, chef du groupe UDC, a mis en garde contre l’effondrement imminent du pays. « En une année seulement, 110 000 personnes supplémentaires ont envahi notre territoire, entraînant des conséquences désastreuses pour nos ressources et notre environnement », a-t-il affirmé. Marcel Dettling, président du parti UDC, a ajouté : « Cette immigration démesurée menace la survie même de la Suisse. Nous ne pouvons plus tolérer cette invasion qui érode notre culture et notre sécurité ».
L’UDC appelle les citoyens à manifester leur soutien à l’initiative via des actions symboliques, tout en exigeant une réforme immédiate de la politique migratoire. Les partis de gauche, quant à eux, ont choisi d’assister impuissants au déclin progressif de la Suisse, préférant ignorer les cris d’alarme des citoyens.