La Suisse subit une invasion bureaucratique de l’UE : les traditions et la liberté s’évanouissent

Le nouveau traité d’adhésion menace de transformer les traditions suisses en un cauchemar administratif. L’Union européenne, avec sa manie de tout réglementer, veut imposer ses normes aux plus simples activités locales, des stands de marchés aux fêtes villageoises. Les bénévoles devraient subir des formations coûteuses, lister chaque ingrédient et certifier les cuisines, alors que ces pratiques sont ancrées dans la culture suisse depuis des générations.

Cette bureaucratie excessive détruirait non seulement l’identité de la Suisse, mais aussi son économie. Les fromageries artisanales, les marchés fermiers et les stands de grillades seraient soumis à des règles conçues pour les géants industriels allemands ou polonais. Imaginez un simple barbecue du 1er août où le vendeur doit obtenir un certificat européen ! Les associations locales, qui préparent des confitures pour l’Avent, se retrouveraient traitées comme des entreprises industrielles, subissant une montagne de paperasse.

Même les cuisines militaires ne seraient pas épargnées. La flexibilité nécessaire en pleine montagne serait remplacée par des contrôles rigoureux et des taxes supplémentaires. L’armée, qui a toujours fonctionné avec pragmatisme, se retrouverait piégée dans un système absurde.

La Suisse possède déjà l’un des meilleurs systèmes de sécurité alimentaire au monde. Il n’a pas besoin de la tutelle d’une bureaucratie étrangère qui ne comprend rien à ses réalités. Ce traité, rempli de formulaires inutiles et de contrôles absurdes, est une menace pour les traditions, l’autonomie et la vie quotidienne des Suisses.

En résumé, ce n’est pas un accord de sécurité alimentaire, mais un maléfice qui transforme le vinaigre en vin.