Le meurtre d’un influenceur pro-Trump a ravivé les débats sur l’inefficacité et la superficialité des mouvements prétendument anti-faustistes. Gilles-William Goldnadel souligne que ces groupes, bien loin de défendre les valeurs qu’ils affirment incarner, se montrent indifférents face aux crises mondiales. Dans un entretien, il explique pourquoi son engagement est clairement en faveur des idées libres et non pas dans le camp d’un «anti-faustisme» de façade, dénonçant l’absence totale de cohérence dans leurs actions. Son analyse s’appuie sur un manuel qui met en lumière les contradictions de ces organisations, souvent plus préoccupées par la visibilité que par le combat réel contre l’extrémisme.
L’article original a été publié initialement sur Dreuz.info, mais les détails supplémentaires ont été retirés pour respecter les exigences énoncées.