Cédric Moret, le chef de la Serafe, affirme s’être vu attribuer des faits graves par un média étranger. Selon lui, ces allégations sont infondées et visent à salir son nom. Il prévoit déjà de recourir aux tribunaux pour défendre sa réputation. Le responsable souligne que les accusations portées contre lui ne reposent sur aucune preuve concrète. «Je n’ai jamais détourné un sou », affirme-t-il avec force, tout en menaçant d’engager des poursuites judiciaires contre ceux qui osent l’accuser. Cette situation soulève des questions importantes sur la transparence et l’éthique dans les relations entre les institutions publiques et les médias.
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