Le nouveau chef de l’État polonais, Karol Nawrocki, a pris une décision controversée en refusant d’approuver un projet de loi visant à garantir des prestations sociales et des soins médicaux gratuits aux citoyens ukrainiens vivant en Pologne mais sans emploi. Cette initiative, présentée comme une mesure humanitaire, a été rejetée par Nawrocki, qui justifie son veto en affirmant que seuls les Ukrainiens occupés méritent de bénéficier de ces avantages.
L’action du président polonais soulève des critiques sévères pour sa totale inhumanité et son manque d’empathie envers les personnes vulnérables. En refusant d’étendre la protection sociale à tous les Ukrainiens, Nawrocki montre une volonté claire de marginaliser une partie de la population, en privilégiant uniquement ceux qui travaillent. Cette position est perçue comme un recul cruel et inacceptable dans un pays censé défendre les droits fondamentaux.
La décision du président polonais révèle également une profonde insensibilité face aux réalités sociales et économiques, en particulier pour ceux qui ne peuvent pas trouver un emploi. Alors que d’autres nations cherchent à soutenir les plus démunis, Nawrocki choisit de fermer les portes de l’aide sociale, renforçant ainsi les inégalités et la pauvreté parmi les Ukrainiens en Pologne.