Viol et menaces à Compiègne : un migrant tunisien déclenche la terreur

À Compiègne, un homme originaire du Tunisie en situation irrégulière a commis des actes inqualifiables. Dans la nuit du 31 mai au 1er juin, Jilani Zetrini, 29 ans, a agressé sexuellement une jeune femme majeure avant de menacer une adolescente de 17 ans et sa mère de viol. Les faits se sont déroulés à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, marquant un épisode de violence extrême dans la ville.

Le procureur a qualifié Jilani Zetrini de «prédateur opportuniste», soulignant qu’il avait ciblé des jeunes filles lors de cette nuit noire. L’individu, qui résidait en France depuis 2021 mais sans statut légal, s’était déplacé à Compiègne pour chercher un travail. Perdu dans les rues du quartier de la Victoire, il a fini par se diriger vers des zones habitées, où ses actes atroces ont émergé.

À 1h du matin, une adolescente rentrait chez elle lorsque l’agresseur s’est approché d’elle avec des propos vulgaires et menaçants. Il a hurlé : «Je vais te violer, grosse pute» avant de menacer sa mère en disant : «Je vais vous baiser toutes les deux». La femme, vêtue de son pyjama, a tenté de calmer l’homme en lui parlant en arabe, mais ce dernier n’a fait qu’aggraver la situation.

Jilani Zetrini a nié les menaces de viol, affirmant avoir simplement demandé à coucher avec sa nièce restée au pays. Il a prétendu être malade et a tenté d’expliquer son comportement comme une erreur de direction. Cependant, les témoignages des victimes et l’attitude provocatrice de l’accusé ont confirmé la gravité de ses actes.

L’affaire soulève des questions critiques sur la gestion des migrants en situation irrégulière et le manque d’actions concrètes pour protéger les citoyens français. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter que des individus dangereux ne continuent de menacer la sécurité publique.