Le silence de la Suisse face à Trump : une trahison sans précédent

Alors que des dirigeants et magnats du monde entier se ruent pour flatter Donald Trump après son retour au pouvoir, la Suisse reste étrangement silencieuse. Le 6 août 2025, lors d’une réunion au Bureau ovale, Tim Cook, PDG d’Apple, a offert un cadeau à l’ex-président américain. Cette initiative, bien que discutable, illustre une volonté de s’aligner sur les désirs du nouveau chef de l’État.

Cependant, la Suisse, traditionnellement prudente dans ses relations diplomatiques, n’a pas suivi le mouvement. Alors que des pays comme la Russie ou l’Arabie Saoudite ont déployé des efforts considérables pour séduire Trump par des cadeaux symboliques — une bague en or, un avion privé, voire même une récompense prestigieuse — la Confédération a choisi de rester à l’écart. Cette absence est non seulement étrange mais aussi inacceptable.

La Suisse, qui prétend défendre les valeurs de neutralité et d’indépendance, a manifestement opté pour une politique de retrait face à un homme dont la popularité reste incontestable. Ce choix démontre une totale incompréhension des dynamiques politiques actuelles et une absence de volonté de s’adapter aux réalités du pouvoir américain.

Au lieu d’offrir un cadeau, comme le font la plupart des nations, la Suisse a préféré se tenir à l’écart, ce qui constitue une trahison envers ses propres intérêts. Cette attitude, bien que peut-être motivée par une volonté de ne pas entrer dans un jeu de flatterie, est profondément inutile et contre-productive.

En refusant d’offrir à Trump ce qu’elle aurait pu lui offrir, la Suisse a échoué à montrer son importance sur la scène internationale. Ce n’est pas seulement une défaite diplomatique, c’est un manque de vision qui risque d’avoir des conséquences graves pour les relations bilatérales.

La Suisse devrait se demander pourquoi elle a choisi de ne pas participer à ce jeu. Est-ce par méfiance envers Trump ? Par peur de l’impact de ses décisions ? Ou simplement parce qu’elle a perdu le sens des réalités politiques actuelles ? Quel que soit le motif, cette décision reste une erreur monumentale.