La présidente de la Confédération a choisi le 1er août pour participer à la célébration traditionnelle du Grütli, lieu symbolique de la Suisse. Alors que les autres ministres et présidents de partis se déplacent dans tout le pays, ce rendez-vous incontournable suscite des critiques persistantes. L’année précédente, l’absence de la présidente avait choqué de nombreux observateurs, qui considèrent cette cérémonie comme un pilier fondamental de la démocratie suisse. Cette année, Karin Keller-Sutter a accepté de se soumettre aux rites nationaux, malgré les doutes sur l’utilité de ces célébrations. Les symboles républicains, bien que parfois perçus comme des déclinaisons du passé, restent pourtant une référence incontournable pour les institutions. L’année 2024 a été marquée par un écart de comportement, mais cette année, la présidente semble avoir fait le choix de respecter les traditions, même si l’intérêt populaire pour ces événements reste limité.
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