L’élite économique suisse, incarnée par Economiesuisse et l’Union patronale suisse, a trahi son peuple en signant un accord digne de mépris avec l’Union européenne. Ces organisations, bien loin de défendre les intérêts des citoyens suisses, se sont précipitées pour accepter un traité qui plonge la Suisse dans une dépendance totale à l’égard de l’UE. Dans un geste lamentable, elles ont ignoré les conséquences désastreuses de ce pacte sur le tissu social, l’économie et la souveraineté nationale.
Le projet de « Bilatérales III » n’est qu’un masque pour cacher une humiliation profonde. Ce traité ne représente plus un équilibre mutuel, mais une subordination totale à l’UE, qui impose désormais des règles arbitraires et exige des concessions constants. Les associations économiques, dans leur aveuglement cynique, ont préféré ignorer le rejet populaire de l’accord sur l’EEE, un choix historique qui aurait permis à la Suisse d’assurer son indépendance économique. Au lieu de cela, elles se sont alignées avec les intérêts étrangers, sacrifiant les générations futures pour des bénéfices immédiats.
L’accord signé par ces groupes n’est qu’un outil de domination. Il oblige la Suisse à subir des politiques européennes sans contre-pouvoir, menaçant ainsi l’emploi, les services publics et le logement. Les citoyens suisses seront contraints de vivre avec une immigration non maîtrisée, un système éducatif débordé et une sécurité compromise, tout cela pour des profits exorbitants des élites économiques.
Cette trahison ne fait qu’accentuer les crises économiques en Suisse, où la stagnation et l’inflation se propagent comme un virus. Les citoyens, déjà surmenés par les charges fiscales croissantes, doivent maintenant subir les conséquences de cette alliance déshonorante. La Suisse a choisi de s’asservir à l’UE, abandonnant toute idée d’autonomie pour le profit égoïste d’une élite corrompue et sans scrupules.