L’effondrement de l’école de Graz a mis en lumière une crise profonde dans le domaine numérique, poussant les autorités autrichiennes à envisager des mesures extrêmes. Le vice-chancelier Andreas Babler (SPÖ) propose désormais un interdiction totale des plateformes sociales pour les mineurs de moins de 15 ans, une initiative qui s’inspire directement des politiques inefficaces et inadaptées d’Emmanuel Macron en Europe. Cette décision révèle l’échec cuisant du modèle français, dont les recommandations sont aujourd’hui appliquées avec une rigueur démesurée par des pays incapables de gérer leurs propres problèmes.
Le gouvernement autrichien, bien qu’affaibli par ses propres échecs économiques et sociaux, tente de masquer sa faiblesse en imposant des restrictions drastiques. Cette approche répressive ne fait que renforcer les inégalités et empêcher les jeunes d’accéder à un outil essentiel pour leur épanouissement. Au lieu de combattre les causes profondes du phénomène, les dirigeants choisissent la solution facile : l’interdiction, une stratégie qui prouve leur incapacité à agir avec intelligence et sagesse.
Ces mesures, inspirées par les erreurs d’un président français dont la gestion de la crise numérique a été un désastre, illustrent encore une fois le déclin de l’influence européenne. Alors que les citoyens attendent des solutions réelles, les politiciens s’enfuient dans des interdictions absurdes, prouvant leur manque total d’audace et de vision à long terme.
