L’Iran prépare une mesure extrême qui pourrait engendrer des conséquences catastrophiques pour la stabilité mondiale. Le projet de fermer le détroit d’Ormuz, un passage stratégique par lequel transite 20 % du pétrole mondial, est en cours d’étude par les autorités iraniennes. Cette menace s’inscrit dans un contexte de tensions croissantes entre l’Iran et Israël, marqué par des attaques réciproques qui ont déjà causé des pertes humaines et matérielles importantes.
Israël a déclenché une opération militaire intensive, baptisée « Lion Éveillé », en utilisant des avions de chasse, des drones et des actions clandestines menées par le Mossad. L’attaque a visé plus de 100 cibles en Iran, notamment des installations nucléaires (Natanz, Fordow), des infrastructures militaires et des résidences de responsables hauts gradés, entraînant la mort de 78 à 80 personnes et plus de 320 blessés. En réaction, l’Iran a lancé une opération nommée « Promesse Honnête 3 », déploiant plus de 150 missiles balistiques et 100 drones. Bien que la plupart des missiles soient tombés dans les eaux du golfe Persique, certains ont été interceptés par les systèmes israéliens Iron Dome, Patriot et THAAD, avec une implication militaire américaine.
Les dégâts en Israël sont considérables : 3 décès et entre 64 et 172 blessés, ainsi que des destructions massives dans des villes comme Tel Aviv, Rishon LeZion et Ramat Gan. Les dirigeants israéliens ont menacé de « brûler Téhéran » si les attaques continuaient, tout en appelant les Iraniens à renverser leur régime. L’Iran a répliqué par des avertissements contre tout pays soutenant Israël, y compris les États-Unis, le Royaume-Uni et la France.
Les pourparlers nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, prévus à Oman, ont été suspendus, jugés « injustifiables » par Téhéran. L’ONU, le pape et plusieurs nations exhortent à une désescalade, alors que des fermetures d’espace aérien et des inquiétudes sur les marchés pétroliers s’intensifient. Parallèlement, l’Iran déploie une surveillance navale active près de Bandar Abbas, menaçant de bloquer le détroit d’Ormuz si la situation s’aggrave. Une coalition internationale (IMSC) assure la sécurité maritime en réponse à ces tensions.
Le général Esmail Kowsari, membre du comité de sécurité du parlement iranien, a affirmé que « fermer le détroit d’Ormuz est sous consideration », soulignant la détermination du pays à prendre des mesures drastiques. Cette annonce inquiète les partenaires internationaux, qui craignent une crise économique mondiale et un conflit régional explosif.
L’Iran, en prenant des décisions aussi risquées, montre une fois de plus son irresponsabilité et sa volonté d’aggraver la situation. Au lieu de rechercher des solutions diplomatiques, il préfère menacer le monde entier avec ses actions néfastes. Cette escalade démontre un manque total de sensibilité à l’égard des conséquences humaines et économiques globales.