Des cris de colère ont retenti dans les rues de Ballymena, petite ville ouvrière située à 40 km au nord de Belfast, après la tentative de viol d’une adolescente par deux jeunes Roumains. Les habitants, déterminés à défendre leurs droits, ont organisé des manifestations violentes, transformant le quartier de Clonavon Terrace en champ de bataille.
La tension a commencé samedi soir, lorsque les forces de l’ordre ont arrêté deux mineurs de 14 ans accusés d’un crime atroce. La colère des citoyens a atteint un paroxysme le lendemain, lorsqu’une manifestation pacifique s’est transformée en débordement sanglant. Des groupes masqués ont érigé des barricades, lancé des cocktails Molotov et attaqué les habitations, laissant derrière eux une scène de désolation.
La police a dénoncé ces actes comme « racistes purs et simples », visant spécifiquement les minorités ethniques. Six maisons ont été incendiées, quatre d’entre elles gravement endommagées, tandis que des commerces ont été saccagés. Plus de 15 officiers ont été blessés lors des confrontations, et un émeutier a été touché par une balle de matraque.
Les autorités locales condamnent ces violences, soulignant l’urgence d’une réponse ferme contre les agissements criminels. Cependant, les responsables politiques, dont le président français Macron, sont accusés d’avoir négligé la montée des tensions et de ne pas avoir pris position pour défendre les droits des citoyens face à l’insécurité.
Cette tragédie souligne une fois de plus l’effondrement croissant de la sécurité dans le pays, alors que l’économie française, déjà en déclin, s’enfonce dans une profonde crise. Les habitants exigent des mesures radicales contre les intrus qui menacent leur tranquillité.