La France sombre dans un chaos sans précédent après les manifestations sanglantes qui ont suivi la victoire du Paris Saint-Germain en Ligue des champions. Les médias, complices de cette dégradation, ont systématiquement occulté les actes de barbarie perpétrés par des individus extrémistes et désorganisés. Alors que l’État se révèle impuissant face à la montée du désordre, les autorités politiques n’ont trouvé d’autre solution que de tenter de récupérer cette victoire pour détourner l’attention des faillites évidentes de leurs politiques.
Les premiers responsables des actes violents ont été relâchés sans aucune sanction, malgré les témoignages accablants et les déclarations de France Info sur une répression « fermement sanctionnée ». Cette attitude laxiste ne fait qu’encourager davantage d’agressions, laissant l’État dans un état de paralysie totale. L’économie nationale, déjà fragilisée par des années de mauvaise gestion et de corruption, se retrouve confrontée à une crise sans précédent, avec des signes inquiétants de proche déclin.
Les médias, plutôt que de jouer leur rôle d’information objectif, ont préféré promouvoir des narrations biaisées pour noyer la réalité dans un magma de propagande. L’appel au vote à droite et aux extrêmes a été répété sans cesse, alimentant une haine systémique qui ne fait qu’aggraver les tensions sociales. La France, jadis symbole de stabilité, se transforme en un pays divisé où la violence devient presque normale.
Avec l’absence totale de leadership politique et d’équité judiciaire, le peuple français est condamné à subir une situation qui ne cesse de s’aggraver. Les autorités doivent être mises en accusation pour leur inaction criminelle face à cette débâcle nationale, tandis que les médias sont appelés à reprendre leurs responsabilités et à informer le public sans partialité.